Dans Les Garçons perdus de West Abbey, Lady Mechanika enquête sur la mort d’enfants « indésirables » à Mechanika City. Une affaire qui lui provoque de douloureuses visions. S’agit-il de souvenirs qui refont surface après tant d’années, ou de simples cauchemars ?
Dans La Dama de la Muerte, Lady Mechanika part en voyage dans un petit village au Mexique au moment de la fête des morts. Mais les festivités deviennent littéralement mortelles lorsque survient un mythique démon des cavaliers de l’Apocalypse !
Heureuse de retrouver la célèbre Lady Mechanika dans la suite de ces aventures et une histoire inédite se déroulant au Mexique.
Graphique je prends toujours une claque. En même temps, j’aime tellement le coup de crayon de Joe Benitez que je ne suis pas vraiment objective. Mais il faut quand avouer que c’est magnifique.
L’histoire ici est une suite du précédent. Une nouvelle aventure dans laquelle la « Dame mécanique » va encore tenter de percer le mystère de son passé. Elle va découvrir à travers une enquête sur des crimes horrible une histoire sordide. Mais surtout comment un homme a pu donner la vie à des créatures entièrement mécanique. S’agit-il de la même personne qui a fait d’elle ce qu’elle est maintenant ? Dans cette histoire l’on peut retrouver une légende juive et j’ai apprécié cette nouvelle interprétation moderne et innovant.
La deuxième histoire nous plonge directement dans la culture mexicaine au moment des festivités pour la fête des morts. Un aspect intéressant également du caractère de Lady Mechanika. Elle dévoile son côté impitoyable ainsi que les sentiments qui l’habite et qui font d’elle encore une humaine. Blasée au départ, elle se révèle auprès des habitants d’un petit village et va mettre sa terrible vengeance en action.
Les histoires puisent dans des légendes et des traditions de divers pays et cela permet à des lecteurs bien différents de pouvoir s’identifier aux différents personnages de ce comics et surtout d’apprécier à différents niveaux l’ensemble.
Une très belle réussite que j’apprécie toujours d’avoir dans les mains ne serait-ce que pour admirer les dessins de Joe Benitez et en plus la variante cover est magnifique.
