Agatha Raisin enquête T. 3 : Pas de pot pour la jardinière

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SYNOPSIS

De retour dans les Cotswolds après de longues vacances, Agatha Raisin découvre que son voisin James Lacey, objet de tous ses fantasmes, est tombé sous le charme d’une nouvelle venue au village. Aussi élégante qu’amusante, Mary Fortune est une jardinière hors pair, et la journée portes ouvertes des jardins de Carsely s’annonce déjà comme son triomphe. Mais une Agatha Raisin ne s’incline pas avant d’avoir combattu (quitte à se livrer à l’une de ces petites supercheries peu reluisantes dont elle a le secret) ! C’est alors que la belle Mary est retrouvée morte, enfoncée tête la première dans un de ses grands pots de fleurs. De toute évidence, Agatha n’était pas la seule à souhaiter la disparition de sa rivale…

MON AVIS

Après le deux précédents meurtres qu’a résolu Agatha, il fallait qu’elle rentre de voyage et retrouve son James à la colle avec une nouvelle venue.

Bien entendu, rien ne va se passer comme elle le veut et elle va finir par détester, puis apprécier et encore détester la jolie Mary Fortune.

« J’ai tondu mon gazon.
– Ce que vous faites dans l’intimité de votre foyer ne regarde que vous « , dit Agatha, avant de partir d’un gros rire gras.

Elle va se rendre compte qu’il ne faut pas toujours se fier aux apparences et que la honte peut faire taire certaines personnes.

Cette fois-ci l’enquête se déroule assez rapidement car le meurtre n’a lieu qu’à partir de la moitié du roman. La première partie est plus basée sur les relations entre les personnages et notamment sur le trio Agatha, James et Mary. Ensuite si on enlève de l’équation l’un des éléments, on retrouve de suite le duo enquêteur Agatha/James.

Du coup le côté « policier » est très rapide et les éléments s’enchaînent rapidement par rapport au début qui est plus de la psychologie simple.

Plaisant malgré tout à lire. Agatha m’a bien fait rire comme d’habitude avec ces répliques cinglantes et sa gaucherie. C’est vraiment un personnage attachant et que l’on prend plaisir à découvrir.

Ce n’est franchement pas de la grande littérature mais c’est distrayant et frais. Une lecture simple.