La famille Vieillepierre T. 2 : Lucie et l’énigme du Sphinx

Une aventure haletante imprégnée de légendes égyptiennes !
Quand son père, l’aventurier Arthur, disparaît en Égypte, Lucie rassemble son courage et part à sa recherche.Pour résoudre l’énigme du Sphinx, elle doit solliciter l’aide des dieux égyptiens … mais sera-t-elle capable de surmonter ses peurs les plus secrètes pour sauver son père ? Après Arthur et la corde d’or, une nouvelle aventure de la famille Vieillepierre.

MON AVIS

Après avoir découvert le premier tome il y a presque une année et après avoir été charmé par l’histoire et surtout le graphisme de cette petite bande dessinée, j’ai voulu poursuivre l’aventure avant de l’offrir à mon filleul.

Et c’est ainsi que j’ai découvert l’histoire de Lucie, une petite fille peureuse et fille d’Arthur, le héros du premier tome.

Une fois de plus on se retrouve avec un narrateur, membre de la famille Vieillepierre mais dont on ignore le nom, et qui nous comte ici les aventures de cette enfant.

Lucie est une petite fille qui vie avec les histoires de son père mais qui n’y croit pas. Elle pense que son père invente et même si elle adore l’écouter raconter ses aventures elle est une peureuse qui imagine des monstres tapie dans l’ombre.

Et là voilà dans une formidable aventure à la recherche de son père partie en Egypte pour l’aider à faire face à ses peurs les plus profondes.

Joliment illustrée, l’histoire non plonge en Egypte parmi les Dieux et les Mythes de cette époque. Richesse visuelle et héroïsme sont les maitres mots de cette aventure à la portée des plus jeunes. Les monstres sont là mais ils ne sont pas si effrayant. Lucie doit faire preuve de courage et affronter ses démons pour sauver son père du pire.

C’est mignon, très joli et le choix des couleurs est bien choisi. On plonge dans ces teintes jaunes d’or qui nous font penser au sable du désert et les Dieux sont bienveillants dans l’ensemble.

Une approche intéressante pour les plus jeunes et qui peut permettre de s’éveiller en douceur aux légendes Egyptiennes.