Peur bleue

Le docteur Susan McAlester est persuadée de pouvoir remédier à la dégénérescence du cerveau humain à l’aide de protéines de requins. Elle travaille avec une équipe de biologistes au centre de recherche Aquatica, un vaste complexe offshore, où ils se livrent a des expériences aussi secrètes que dangereuses. C’est ainsi que le docteur Susan McAlester n’a pas hesité à recombiner l’ADN de deux grands requins au mépris de l’éthique médicale et de la plus élémentaire prudence. Susan et ses partenaires en font ainsi de terrifiantes machines à tuer.

MON AVIS

Et oui, j’ai regardé des films de requins tueurs dernièrement. Et je ne pouvais pas passer à côté de celui-ci et le revoir encore une fois.

Je sais qu’il est assez mal noté sur les sites de référencements de films mais je troue qu’il est portant pas si mal. Il a des défauts, certes, mais il reste assez efficace et fait voir les requins comme des tueurs mais ayant une intellignece bien supérieur et pour cause.

Car le film est basé sur des recherches faites sur les requins dans le but d’essayer de trouver un remède contre des maladies comme Alzheimer. L’ambition est grande mais voilà pour pouvoir y arriver il faut génétiquement modifier une glande dans le cerveau des requins, ayant pour effet de les rendre plus intelligent.

Vous voyez la catastrophe arriver ? Car bien évidemment les requins ne vont pas se laisser faire. Plus intelligent ils trouvent tous les moyens possibles et imaginables pour se venger des humains qui les traitent en cobaye et essayer de retrouver leur liberté.

La totalité du film se déroule donc dans un lieu bien précis avec une épée de damoclès sur la tête : arriver à s’en sortir sur une seule nuit. Car le temps tourne et vite.

Démembrements, nombreuses dents, morts à profusion et suspens, ce film qui n’est pas des plus fabuleux reste malgré tout efficace et fonctionne toujours même en le connaissant presque par coeur.

Selon moi cela reste un bon film du genre, efficace et qui aide à entretenir la psychose du grand requin.