Le Père Merrin, sentant sa foi l’abandonner, décide de rejoindre un chantier archéologique au Kenya, où les Anglais viennent de faire une découverte des plus troublante : une église byzantine parfaitement conservée qui semble avoir été enfouie sitôt construite…
Mais sous l’église, sommeille une entité diabolique qui n’attend qu’un signe pour s’éveiller et répandre à nouveau sur Terre le sang, la mort et les plus abominables violences. Alors que la folie s’empare rapidement des villageois et des soldats anglais, Merrin assiste impuissant aux atrocités commises. Mais l’horreur ne fait que commencer…
Échoué dans le berceau du Mal, Merrin va enfin découvrir son vrai visage…
Ce pré-quel au célèbre film L’Exorciste peut laisser un peu dubitatif car il n’est pas forcément cohérent avec le premier film que nous connaissons tous. Certes il y a un essai pour expliquer pourquoi cette idole que l’on découvre dans le premier film fait tant souffrir ceux qui la trouve, mais l’action qui se passe en 1949 n’est pas cohérente dans le sens où dans le premier film du nom, l’on ne sait rien des découvertes archéologiques en question. Or l’on devrait au vu de ce film qui est quand même titré « Au commencement ».
Mais bon, passons sur ce détail, quand même primordial, pour ne juger que le film.
Cela reste un film de série Z pour moi. Il n’y a aucune surprises, aucunes originalités dans le scénario et tout est prévisible. Certaines scènes peuvent laisser un léger effroi (je pense à celle avec les hyènes) mais sinon, je n’aieu de sursauts à aucun moments.
C’est à voir une fois et à oublier presque aussitôt. Vraiment pas un film mémorable. J’aurais à la rigueur préféré voir quelques se passant du temps de la construction de cette église (1500 auparavant) et expliquant réellement les véritables origines à peine survolées ici (il s’agirait de l’endroit où l’Ange déchu Lucifer a atterrir sur Terre).
Le premier film restera pour ma part le plus spectaculaire et le plus effrayant et cela même malgré les années et les moyens techniques de l’époque. Je m’attendais vraiment à mieux.
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