
SYNOPSIS
Contraints à la clandestinité, Hughie, La Crème, Frenchie et Kimiko essaient tant bien que mal de s’adapter à cette vie de cavale, Billy Butcher restant pour sa part introuvable. En parallèle, Starlight peine à trouver sa place parmi les Sept, tandis que le Protecteur s’efforce de prendre le contrôle total de la situation. Ses ambitions sont contrariées par l’arrivée de Stormfront, une nouvelle super-héroïne experte en réseaux sociaux et prête à tout pour arriver à ses desseins. Pour pimenter le tout, la menace des Super-méchants fait des vagues et Vought essaie de capitaliser sur la paranoïa qui s’empare du pays.
MON AVIS
Elle envoi encore du lourd cette deuxième saison de The Boys. J’irais même jusqu’à dire du très lourd. Pour certaines scènes je dirais “âmes sensibles s’abstenir”
Dans cette saison Le Protecteur est mis à mal. Sa popularité à laquelle il tient tant est en train de prendre la fuite et il se retrouve discrédité à la vue de tous. Mais voilà qu’arrive une nouvelle parmi les 7 et elle va semer la pagaille mais surtout elle va également bien occuper les justiciers anti-héros.
J’avoue que cette saison j’ai eu un peu de mal à la suivre. Les épisodes sont très bon, certains un peu moins mais dans l’ensemble on reste sur un niveau équivalent à la saison 1. Mais je ne voyais pas du tout où mené l’histoire. Et puis finalement sur les tout derniers épisodes tous les éléments se mettent en place et on comprend tout de suite bien mieux.
C’est une série qu’il faut prendre comme telle quelle sans se poser de questions métaphysique car c’est brutal et cela ne fait vraiment pas dans la dentelles. Les gentils sont des méchants et réciproquement. Bref, on en perd son latin (si on le connait).
C’était une très bonne saison encore une fois et cela promet du lourd encore une fois pour la suivante. Maintenant patientons une année pour la suite.
Mais je veux revenir quand même sur quelques passages. Le Protecteur est vraiment un beau salaud, mais il devient plus complexe. Il aime faire souffrir, c’est d’ailleurs son fond de commerce mais on a parfois l’impression qu’il a des états d’âmes et un peu de fond humain. En fait c’est un gamin qui a grandi sans repères et surtout sans amour ou attention.
Butch qu’en à lui n’est pas qu’un bourrin qui fonce dans le tas et qui réfléchi après. Il prend souvent des décision sous le coup de l’émotion mais il arrive quand même à faire ce qui est juste. Et puis on en apprend un peu plus sur son passé et cela permet de cerner un peu mieux le personnage.
C’est avec Starlight que j’ai un peu plus de mal. Le personnage est intéressant mais par moment elle me tape sur les nerfs. Pourtant elle a un rôle essentiel dans cette saison. On peut même dire qu’elle est l’un des piliers de l’histoire et elle fait beaucoup pour faire avancer la cause des garçons.
Tout cela pour dire que cette saison est aussi prenante que la première et elle pousse encore plus loin les limites du supportable. Enjoy !
- Créée par Eric Kripke, Seth Rogen et Evan Goldberg
- Avec Karl Urban, Jack Quaid, Antony Starr, Erin Moriarty, Dominique McElligott, Jessie T. Usher, Laz Alonso, Chace Crawford, Tomer Kapon, Karen Fukuhara, Aya Cash, Nathan Mitchell, Colby Minifie…
- Durée : 60 minutes
- Genre : Science-Fiction
- Diffuseur : Prime Video
- Nombre d’épisodes : 8
- The Big Ride (Comme à la fête foraine) 1 h 03
- Proper Preparation and Planning (Préparation propre et planification) 59 min
- Over the Hill with the Swords of a Thousand Men (La Charge de la brigade légère) 59 min
- Nothing Like It In the World (Rien de tel dans le monde entier) 1 h 08
- We Gotta Go Now (Quand faut y aller, faut y aller) 1 h 01
- The Bloody Doors Off (On ne prend plus de gants) 1 h 05
- Butcher, Baker, Candlestick Maker (Le fils du boulanger) 54 min
- What I Know 1 h 07
- Renouvelée pour une saison 3
- Fiches : Seribox – IMDb – Allociné – TMDB
Je ne l’ai pas encore terminée, mais j’ai aussi parfois un peu de mal avec Starlight même si elle permet de voir les dessous d’une certaine Amérique…