Un jour comme les autres, Gerry Lane et sa famille se retrouvent coincés dans un embouteillage monstre sur leur trajet quotidien. Ancien enquêteur des Nations Unies, Lane comprend immédiatement que la situation est inhabituelle. Tandis que les hélicoptères de la police sillonnent le ciel et que les motards quadrillent les rues, la ville bascule dans le chaos…
Les gens s’en prennent violemment les uns aux autres et un virus mortel semble se propager. Les êtres les plus pacifiques deviennent de redoutables ennemis. Or, les origines du fléau demeurent inconnues et le nombre de personnes infectées s’accroît tous les jours de manière exponentielle : on parle désormais de pandémie. Lorsque des hordes d’humains contaminés écrasent les armées de la planète et renversent les gouvernements les uns après les autres, Lane n’a d’autre choix que de reprendre du service pour protéger sa famille : il s’engage alors dans une quête effrénée à travers le monde pour identifier l’origine de cette menace et trouver un moyen d’enrayer sa propagation…
Voilà un film qui fait partie de ceux que je préfère. J’aime son rythme en deux temps. Celui très rythmé qui va nous faire courir en même temps que Brad Pitt et qui va nous faire peur comme il faut dès qu’un “zombie” va apparaître.
Ai-je besoin de préciser que Brad Pitt fait partie également des acteurs que j’affectionne tout particulièrement ? Non je ne pense pas. J’aime beaucoup les films qu’il a pu tourner. Il arrive à nous faire rire, pleurer, sursauter et avoir des sueurs froides. Il a quand même un bel éventail de styles à son actif.
Mais parlons plutôt du film.
Pour ceux qui l’on vu, vous aurez remarqué le double rythme. Une action poussée à son paroxysme dès le départ et jusque à peu près la moitié du film et ensuite une seconde moitié un peu plus lente qui calme le jeu et surtout permet au spectateur de digérer toutes informations données et de réfléchir sur la suite à donner.
Ne croyez pas que la seconde partie est “chiante” car plus lente. Non pas du tout. Elle en met un peu moins pleins les yeux car ici l’on s’attarde plus sur le détail. Vous n’aviez pas encore eu l’occasion de voir correctement un zombie ? Par de soucis, là c’est les yeux dans les yeux. Et ça c’est tout aussi flippant que de voir une montagne de morts-vivants.

Et puis ce que j’aime aussi dans ce film c’est que le héros va devoir affronter des situations de plus en plus complexes et il n’est pas seul. Certes il fait beaucoup par lui-même, mais il va s’épauler d’autres personnages tout aussi important, voire plus. Il compte sur les autres et c’est la solidarité qui triomphe.
Un autre aspect du film : oubliez les zombies qui on du mal à vous suivre et que vous pouvez éviter dans un couloir. Ici ils ne vous manqueront pas. Ils courent aussi vite voir plus vite que vous et comme ils n’ont plus peur de mourir et bien ils n’hésitent pas à se jeter du haut d’un immeuble pour vous avoir. Ce film bouscule les habitudes et les codes du genre. Ça fait du bien de temps en temps.
Bon allez, je vais peut-être me refaire le film prochainement ou je vais sûrement me lancer dans le roman juste avant, histoire de pouvoir comparer les deux.